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 Pairs du Royaume - CV

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kirah
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MessageSujet: Re: Pairs du Royaume - CV   Pairs du Royaume - CV - Page 2 EmptyMar 26 Juin - 12:12

Fauville est nommé Pair de France. Il est parrainé par Moniah de Prie-Montpoupon, Comtesse du Maine





Ci joint, le dossier biographique de Fauville.

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Mesdames et messieurs les Pairs de France, laissez moi vous présenter si vous ne le connaissez déjà le virtuose Fauville sic le beau Cardinal.

Né dans le village de Conflans-les-Sens en Champagne fin octobre, il reçut de son père une éducation du type mercantile, ce dernier étant un grand marchand.
Fauville dans un premier temps ne s’occupa que peu d’économie et de transaction, il s’est tout d’abord tourné vers le service de la CHAMPAGNE, dans la prévôté où il exerça les fonctions de sergent durant près de quatre mois.

Vers la fin décembre, il est admis au titre d’échevin au service du Juge Feydakis, où durant près d’un mois, il l’assistera dans l’accomplissement de sa mission de justice.

Durant cette période, il se rendit bien vite compte qu’il était possible de mettre plus encore à profit son temps et son énergie, il se présenta alors aux élections municipales de CONFLANS qu’il remporta avec un franc succès. Très rapidement, il réorganisa complètement la grille des prix. C’est alors que venant de Langres, Amro d'Appérault, Baron de Vannes fait de lui son écuyer au pied des marches de l’église municipale.

Deux à trois semaines plus tard, les choses se bousculèrent à nouveau pour Fauville, Caedes de retour, c’était toute la Champagne qui était retournée. La mairie de Conflans fut à cette occasion gardienne des réserves stratégiques. Assez rapidement le château de Reims faillit aux assauts des troupes envoyées par le Roy, et les bien retournèrent dans les mains de l’intendance.

Cette intérim fut confiée par le Roy au Vicomte de Châlon Alsbo, a ce moment Fauville fit son apparition dans son premier conseil du Domaine Royal. L’intendant lui ayant en effet confié les attributions de JUGE DE CHAMPAGNE. A ce moment, Fauville cumulait les fonctions de sergent, de maire et de juge.


Lors du mandat ducal suivant, il occupa à nouveau les fonctions annexes d’échevin du juge et fit la connaissance du monde économique en sa fonction de responsable de la banque ducale. Il fut à ce titre chargé d’épauler la commissaire au commerce dans la réorganisation des filières céréalières et animalières en fonction de l’apparition des élevages ducaux. Cela se concrétisa par la création de procédures fixant les besoins journaliers et permettant de les comparer avec la production du duché en céréales, le compte à rebours était lancé, le duché disposait de 26 jours pour doubler sa production de blé, rien que pour pouvoir fournir les animaux. Cette réorganisation fut l’occasion de lancer la réflexion sur la gestion des recettes et des dépenses du duché.
Réflexion qui s’acheva sans lui car au début du mois de mars, son suzerain, le baron de Vannes fut fait Duc d’Orléans.

Fauville s’en fut donc vers les terres ORLEANAISES où il rejoignit son second conseil du Domaine royal, durant un temps, il continua à siéger en tant que responsable de la banque et échevin du juge en Champagne mais il dut passer la main afin de ce concentrer au mieux sur le défis qui s’offrais à lui. Organiser depuis le départ l’économie de ce jeune duché. Fauville occupa durant plus de deux mois le poste de Commissaire au Commerce (CAC D’ORLEANS). A ce poste, il concentra sont énergie sur l’optimalisation des mines et débuta la constitution d’un stock stratégique pour faire tourner les mines au plein régime. De par cette collecte continuelle de matières premières, il fut fréquemment en relation avec les CAC des autres provinces avec qui il ne manquait pas de partager son savoir et ses documents de travail, contribuant à faire de l’Orléans un exemple en matière de gestion économique.

A l’issue de ces deux mois, Fauville fut fait Baron de Sully entre autre pour ses excellentes prestations économiques, pour la réalisation des plans de la ville d’Orléans et son implication sans faille dans les affaires du jeune duché.

Le troisième mois en Orléans fut marqué par la guerre lancée contre l’ANJOU à l’initiative de la Pairie. Suite à l’absence de son suzerain, Fauville prit les rennes de l’armée et guida les troupes jusqu’aux pieds du château à Saumur afin de renverser Tydual dit le félon. Attaque qui fut finalement stoppée au dernier instant suite à un appel au calme du Roy.

De retour en Orléans, Le baron de Sully, fut fait DUC D’ORLEANS. Ce mandat fut l’occasion de s’essayer à la gestion d’équipe et à la coordination des différents services. Ce mandat fut également l’occasion de travailler de concert avec son CAC le Duc Archimbaud à l’optimalisation des documents de travail et à la formation de nombreux CAC et baillis étrangers.
L’ordre public ne fut pas non plus délaissé, le Duc usa tant de diplomatie que de fermeté pour faire régner l’ordre sur la province, nombreuses furent les rencontres et les audiences afin de faire comprendre les tenants et aboutissants des décisions du Duché et des mairies. Certaines rencontres se soldant par des remerciements et des salutations pendant que d’autres se terminaient à la frontière.

Vers la fin de son mandat, Ducal, il fut contacté par Juliano Di Juliani pour composer le récent CABINET DES FINANCES. Durant les deux premiers mois, son implication fut assez sporadique, partagé entre son travail de conseiller ad honoris au conseil Orléanais et un repos bien mérité. Mais bien vite, il se remit au travail et s’attaqua au problème du MAINE. Il fut admis au sein du conseil par la comtesse Moniah en début de mandat. Apres avoir remporté les élections en Orléans, en tête de la première liste, il laissa son siège de conseiller pour rejoindre la ville de MONTMIRAIL non loin du Mans.

A l’issue des élections suivantes dans le Maine, il siège pleinement au sein d’un troisième Domaine Royal. Bien que siégeant au Mans, le Duc dispose toujours d’un siège en Orléans en sa qualité de noble et des récentes lois adoptées juste avant son départ. Il siège dans ces deux conseils en Orléans comme conseil et en tant que juge dans le Maine signant ainsi un retour à son premier mandat. Rapidement, il reçut les clefs du château pour une fois de plus repenser sur les plans du château. La réorganisation de la communication entre les services de la prévôté et le tribunal fut aussi un de ses chantiers.

Aujourd’hui si ce n’est les pendaisons des brigands de grand chemin, ses passions se trouvent toujours êtres l’économie et le service au sein du Domaine royal. Actuellement, il prépare un bilan général de l’état des finances du DR au sein du cabinet des finances.

Nous sommes certain que son accession à la pairie ne saurait qu’être profitable à son travail et à fortiori au royaume de France. Et constituerait pour lui une motivation supplémentaire pour se dépasser dans l’aide à autrui.
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kirah
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MessageSujet: Re: Pairs du Royaume - CV   Pairs du Royaume - CV - Page 2 EmptyMar 26 Juin - 12:15

Alistiel est nommé Pair de France. Il est parrainé par Dragon_Noir, Duc d'Alençon





Ci joint, le dossier biographique d'Alistiel.

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Alistiel naquit dans le petit village de Lanleff, à quelques lieues au sud de Tréguier. Il débuta son ascension sociale en Rohan, fut-il officier dans l'armée bretonne en qualité d'archer du Triskell de première classe, et devint par la suite rédacteur au journal de l'université de Bretagne. Alistiel prouva dès lors son habileté diplomatique, le rang de chancelier de « l'Ordre Saint des Chevaliers Bretons » lui fut ainsi confié. Aspirant à la découverte d’autres régions, l’âme itinérante le conduisit jusqu’aux portes de la citée phocéenne (d’aucuns parleront d’une soif particulière pour une spécialité locale), où il occupa le poste d'ambassadeur breton auprès du conseil provençal du comte Ledjool, puis de son successeur le comte Godgaby. Il lia ainsi les deux contrées d’un traité d’amitié. Alistiel prit également part à l’activité de la ville de Marseille, en tant que conseiller culturel dans le conseil du maire Sylla. Il participa à la fondation de l'Ordre Dominicain des prêcheurs, qui fut reconnu par l'Eglise Aristotélicienne, y exerçant la fonction de bibliothécaire.

Quelques semaines plus tard, Alistiel répondit à l'appel au peuplement fait en Périgord. Il emménagea en Castillon, et eut l'honneur de siéger au sein du conseil provisoire du comte Héraklius. Les fonctions de capitaine, et de bailli lui furent réservées. Il rédigea de fait, le code militaire de l'Armée périgourdine, conjointement avec le sieur Dugesglin avec qui Alistiel édifia la caserne et ses garnisons. Son activité journalière se vit également éprouvée par le poste de bailli, où il mena une campagne in extenso contre les difficultés inhérentes à un jeune comté : équilibrer le cycle économique des marchés en encourageant les filières céréalières et l'aide aux reconversions, faciliter les rachats par le commissaire au commerce auprès des maires, puis lancer les cheptels en conséquence. Le Périgord n'a ainsi connu de marasme, et trouva une stabilité notable à ses premiers jours. En outre, convaincu par le danger véhément des organisations criminelles, Alistiel acheva la rédaction d'une charte des douanes afin de clarifier et contrôler au mieux les flux internes des villes, mais également d'assurer bonne escorte aux marchandises en transit.

Il se joignit à la lance périgourdine en Artois, ce quarte du mois de mars de l'an de grâce mil quatre cent cinquante-quatre lors du « Combat des Trente ». Le succès de cette bataille affirma, à juste cause, sa volonté à épauler ceux l'ayant accueilli en Périgord.

Alistiel assista le comte Dugesglin lors des rocambolesques débats l'opposant à ses conseillers. Lorsque ce dernier mit en place l'Assemblée Populaire afin de seconder le conseil comtal, Alistiel fut élu député castillonnais au sein de cette même assemblée, et participa aux premières heures des débats.

Par la suite, la démission du sieur Legend au conseil du comte Dugesglin lui donna à nouveau siège, en qualité de connétable du Périgord en ce milieu d’avril de l’an MCDLIV. Il fut ennobli par son seigneur, et reçu le fief de Châteauneuf en baronnie, le premier du mois de mai de l’an mil quatre cent cinquante-quatre, en la basilique du castel de Périgueux. Il s’attacha à redynamiser la caserne, laissée en friche depuis la fin du conseil provisoire, en relançant les recrutements, et les campagnes de mobilisation sur le territoire périgourdin, lors notamment de l’enlèvement du comte, et de son épouse.

En date du second de mai, il fut de nouveau présent au sein du conseil périgourdin, occupant dès lors la charge de procureur à la Cour. Alistiel travailla en étroite collaboration avec le juge en place, jusqu’à la démission de celui-ci quelques semaines plus tard…
Il devint ainsi juge durant plus d'un mois, mettant en exercice une justice claire, et impartiale; soutenue par un archivage complet des dossiers, et une revue des droits locaux.
C'est également durant cette période qu'il intégra les rangs des « Chevaliers de la Licorne ».

Lors des noces royales, à Paris en ce mois de juin de l'an mil quatre cent cinquante-quatre, Alistiel fut nommé Grand Louvetier de France, en charge des véneries dans les bois de Vincennes. Il ne put cependant mettre en place le projet, faute de conditions climatiques peu clémentes. Celui-ci reste cependant d’actualité, et devrait être prochainement soumis aux quartiers royaux.

Les premiers jours de juillet arrivèrent, et avec eux les élections comtales. Alistiel se proposa à la suite du comte Dugesglin, mais les nominations au poste de dignitaire furent secouées par les manigances, et autres manoeuvres de coalition de certains; Alistiel s'en tint à l'écart. Et lorsque celles-ci furent publiquement révélées, beaucoup soutinrent sa candidature, et Alistiel devint alors le troisième comte du Périgord et de l'Angoumois. En dépit de ces débuts fastidieux, il s’attacha à réunir les élus malgré les discordes, en centrant les efforts autour de réguliers débats au château de Périgueux, et sur la gargote locale.
La chambre comtale, composée de personnes de valeur, et motivées, travailla sur la remontée de l'économie, la refonte de l'armée et de sa caserne, les ententes avec l'extérieur, mais également à servir une communication réelle des actions des conseillers comtaux, pour tous.
Le second festival périgourdin qui fut ouvert à l’ensemble des royaumes, connut un franc succès.

Ce quatrième d’août, il est baptisé en la cathédrale Saint Pierre d’Angoulême, par Monseigneur l’évêque d’Angoulême Ben60.

En ce dixième de septembre, il est nommé juge près la Cour d'Appel des Royaumes, par le sire Allen. Alistiel proposa la rédaction d’un « verdict type » qui fut acceptée, et qui sera désormais usitée par l’ensemble des juges. La réforme de l’organisation, la nouvelle mise en place des lieux, ainsi que la révision des statuts de l’institution occupent encore une bonne partie de son temps.

Au cours du mois d’octobre, il emménagea en Argentan, dans le duché d’Alençon. Il participa notamment au quatrième « Grand Festival de la Couronne », avec l’équipage périgourdin qui accéda aux demi-finales des duels à la lice. En ce début de novembre, Alistiel obtint un siège, au sein du conseil du duc Dragon_Noir, en qualité de connétable. La nouvelle donne militaire obligeant les duchés, et comtés à une certaine vigilance de la production d’armes, le bureau du connétable se veut l’intendance de ce circuit, et de son contrôle. Le travail n’y manque là encore.
Il est également choisi pour accompagner son duc auprès du conseil du domaine royal.



Récapitulatif des fonctions exercées:

Connétable de l’Alençonnais
(depuis le mois de novembre MCDLIV)

Juge près la Cour d'Appel des Royaumes
(depuis le mois de septembre MCDLIV)

Comte du Périgord et de l'Angoumois
(mois de juillet, et d'août MCDLIV)

Grand Louvetier de France
(depuis le mois de juin MCDLIV)

Procureur du Périgord et de l'Angoumois
Juge du Périgord et de l'Angoumois
(mois de mai, et de juin MCDLIV)

Ecuyer des « Chevaliers de la Licorne »
(depuis le mois de mai MCDLIV)

Connétable du Périgord et de l'Angoumois
(mois d’avril MCDLIV)

Colonel des armées du Périgord et de l'Angoumois
Député à l'Assemblée Populaire périgourdine
(mois d'avril MCDLIV)

Frère fondateur et bibliothécaire de l'Ordre Dominicain
Bailli du Périgord et de l'Angoumois
Capitaine du Périgord et de l'Angoumois
(mois de mars, et d'avril MCDLIV)

Ambassadeur de Bretagne en Provence
Conseiller municipal à la Culture
(durant les mois de janvier, à mars MCDLIV)

Chancelier de l'Ordre Saint des Chevaliers Bretons
Rédacteur au journal de l'Université de Bretagne
Officier au sein de l'armée bretonne
(durant les mois de septembre MCDLIII, à janvier MCDLIV)
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kirah
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MessageSujet: Re: Pairs du Royaume - CV   Pairs du Royaume - CV - Page 2 EmptyMar 26 Juin - 12:17

Armoria est nommée Pair de France. Elle est parrainée par Astérius, Duc de Bourgogne




Ci joint, le dossier biographique d'Armoria.

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D’origine bretonne, Armoria d’Ylfan, née Traorig, est arrivée, après quelques années d’errance, à Tournai, alors encore artésienne.

Ce qui la résume le mieux ? Se démener. Elle se lance à corps perdu dans tout ce qu’elle entreprend, avec pour conséquence une nette propension à oublier de déléguer, ce qu’elle essaie de corriger à présent. Elle commence à déléguer… Tout en continuant de garder un œil sur la bonne exécution des tâches confiées. Exigeante envers elle-même plus encore qu’envers les autres, elle a toujours gardé la même ligne de conduite, fidèle à ses principes.

Elevée dans le paganisme, elle fut baptisée à Paris, pendant les festivités du mariage royal, et a parcouru depuis un chemin de réflexion dans le dogme.

A son arrivée à Tournai, elle fut vite remarquée, intégrant le conseil municipal et le parti du Flamand Rose au bout de quelques jours.
Elle fit sa première apparition en gargote artésienne à l’occasion de la bataille de Compiègne. Elle ne craignit alors pas de montrer une belle virulence devant les grands noms de l’époque. Encore vagabonde, elle ne put suivre ceux qui s’engageaient sous les ordres du Comte Luzifer. Ce fut donc en se rongeant les sangs qu’elle reçut les prix de beauté, de Tournai d’abord, des Flandres ensuite.

Flandres qui, entre-temps, avaient quitté le giron artésien. Ayant acquis son premier champ, elle fit partie de la première liste PBF- Flamand Rose pour les Comtales, en douzième position. La mort de dame Rhodidine, puis une démission du Conseil, l’y firent entrer, contre toute attente. Commença alors une longue période au service des Flandres, où elle fut alternativement Juge d’un jour, Bailli, Porte-Parole, Prévôt, et surtout Procureur, le tout réparti sur deux mandats et demi.

Quelques détails sur ces mandats résument son état d’esprit. La liste menée par Valdy, où elle figurait en seconde position, avait remporté un beau succès. Valdy nommé Comte, le Duc Juju prévint les Flamands des malversations de ce dernier. Après des débats houleux et la démission de Valdy, elle poussa ses co-listiers à désigner, malgré leur majorité, la Comtesse Mariemagnes, issue d’une liste adverse, afin de prouver que leur action n’était pas à son bénéfice, renonçant par là-même au titre de Comtesse.

Nommé ambassadrice en Bourgogne, elle mit en place des relations durables entre ces deux contrées qui allaient marquer sa vie. Auprès de Persan d’Ylfan, son futur époux, elle lutta pour la mise en place du Traité Lilin de collaboration judiciaire.

Pendant la Fronde, ayant entendu déformer les propos du Duc Cardinal et de son Conseil, propos détournés pour envenimer une situation déjà tendue et visant à faire croire à l’hostilité des Flandres envers la Bourgogne, elle obtint de son Conseil de pouvoir faire une déclaration officielle rétablissant la vérité et pérennisant les liens des deux contrées au-delà des désaccords éventuels.

Son dernier mandat se déroula sous l’autorité de Nikator le voleur, contre lequel elle n’eut de cesse de se battre. L’avenir lui donna, hélas, raison.

Pestant contre les partis politiques qui gangrenaient les Flandres, elle décida, Persan l’y ayant rejointe, de monter une liste d’union rejetant toute idée d’étiquette. Mais Lilin de Cassel ayant eu la même idée, soucieuse de laisser ce principe prendre son essor, elle décida de se désister. Ce fut le départ pour la Bourgogne, qu’elle avait appris à aimer et qui manquait à Persan.

Celui-ci mena une liste aux ducales et devint Duc de Bourgogne, la nommant Procureur et l’épousant « dans la foulée », ce qui donnerait un nom à leur enfant à naître. Dans le même temps, le Comte Lilin lui baillait fief d’Ath et titre de Baronne.

Elle mit en place les greffes de Bourgogne et commença à développer des liens vers l’extérieur. Elle devint Régente lors du mandat suivant, après la démission de Barulf. Elle reprit aussitôt deux flambeaux : celui de la défense de la Toison d’Or, pour laquelle elle eut gain de cause, et celui des rachats royaux relancés par son époux, dossier pour lequel elle se battit sans relâche pendant plus de cinq mois – le Très-Haut sait à quel point elle se montra opiniâtre...

Ce fut au cours de ce mandat de Régente que fut signé le Traité Artois-Bourgogne.

Son premier mandat en tant que Duchesse vit apparaître des bruits de guerre dans le SERG. Après avoir décidé d’envoyer des troupes pour le maintien de la paix, elle laissa son Général traiter avec la Franche-Comté, se chargeant quant à elle des contacts avec la Savoie et l’Archichancelier du Saint-Empire. Les partis en présence s’accordent à reconnaître que cette position, pourtant décriée à l’époque, a influé sur le retour au calme.

Pendant ce premier mandat, elle demanda à son Général et à son Connétable de réformer l’armée bourguignonne. Ce fut un travail sur la durée, qui a magnifiquement abouti : cette armée est dorénavant de façon notoire puissante, réactive, bien organisée et bien équipée. Elle créa également la Bourguignonne des Jeux, ou BDJ, loterie ducale permettant aux gagnants de percevoir non des lots, mais des Ecus, le but étant de faire vivre, pour reprendre ses termes une « taxe festive ».

Afin de mettre en avant la religion aristotélicienne, elle eut tout le long de son règne un confesseur, et refusa de pactiser avec les hérétiques de tout poil qui se présentaient en Bourgogne. Elle fit dresser un bûcher en place publique où furent exécutés sept sorciers et défendit avec la dernière énergie que leurs cendres fussent ensevelies en terres consacrées.

Au cours de son second mandat, elle travailla avec le Comte Nerevar, d’Artois et le Duc George, du Berry, à la mise en place de la vaste Alliance, visant à rééquilibrer les forces en présence dans les traités militaires. Elle se mit en contact dans ce but avec le Languedoc et le Dauphiné. A noter que la vaste Alliance aura aussi pour but en temps de paix, de favoriser les contacts de tous ordres entre les signataires par le biais de chambres économique, sécuritaire et judiciaire.

Son dernier mandat s’achevant sur la crise angevine, le Duc George du Berry et elle demandèrent aussitôt l’aval du Grand Maître de France pour obtenir droit de médiation auprès de la Duchesse Gigi, accompagnés de Monseigneur Tony77fr.

Chacun reconnaît que les liens qu’elle a créés ou développés à l’extérieur, ainsi que l’écoute et la présence dont elle fit preuve à l’intérieur ont assuré à la Bourgogne une période de calme qu’elle n’avait pas connue depuis longtemps. En effet, les Ducs de Bourgogne avant l’accession des d’Ylfan au trône ducal, avaient tous connu des périodes de forte contestation et d’appels à la révolte.

L’un de ses derniers actes en tant que Duchesse fut de tenir sa promesse d’abroger les impôts, la trésorerie étant redevenue positive grâce au labeur de son CAC et aux rachats royaux. Dans le même temps, elle avait aménagé au Palais ducal une aile réservée à la Toison d’or, afin de permettre à ses détenteurs d’ériger cet ordre du mérite en véritable institution.

Pour l’anecdote, l’on dit d’elle qu’elle a brisé la malédiction des Ducs de Bourgogne, qui voulait que nul Duc n’allât au-delà d’un premier mandat. Et une moins connue, celle des Duchesses de Bourgogne : en effet, seuls des hommes avant elle avaient veillé à la destinée de ce vaste et beau Duché.

Laissant la place afin de se reposer de la lourde charge qu’est la couronne ducale de Bourgogne, elle est néanmoins restée au service de son Duc, étrangère devenue bourguignonne et reconnue comme telle.

Opiniâtreté souriante, fermeté quand c’est nécessaire, diplomatie, grande capacité de travail, ayant toujours été loyale envers sa Majesté Lévan, Armoria d’Ylfan mettrait au service de la Pairie la belle énergie qu’elle a toujours su dépenser dans chaque charge qui lui a incombé.
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MessageSujet: Re: Pairs du Royaume - CV   Pairs du Royaume - CV - Page 2 EmptyMar 26 Juin - 12:18

Cronos est nommé Pair de France. Il est parrainé par Ruthra, Duc de Normandie





Ci joint, le dossier biographique de Cronos.

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Cronos naquit il y a une cinquantaine d'année en Normandie. Il n'eut pas le loisir de connaître ses parents, sans doute morts dans des circonstances qu'il ignore. Le fait qu'il fut abandonné en pleine forêt près d'Avranches, où un vieil ermite se croyant investi de pouvoirs magique sle recueilli. L'enfance de Cronos auprès du vieillard déséquilibré fut difficile mais l'homme, s'il était un peu fou, lui apprit tout de même les arts des lettres et des chiffres. Lorsqu'il fut assez grand, Cronos se drappa dans son éternel manteau noir et, quelques écus en poche, parti s'installer à Avranches, ville qu'il ne devrait plus jamais quitter.

La vue d'une ville fort peuplée fut un choc pour Cronos, peu habitudé à voir les foules. Il apprit donc la vie urbaine auprès d'une certaine dame Enox, future mairesse de la cité et plus tard duchesse de Normandie.
Très vite il s'investi dans la vie d'Avranches comme conseiller municipal responsable de divers branches économiques.
Il profita de cet investissement pour devenir membre de la Guilde du Blé. De simple représentant de ville, il devint responsable de la Guilde pour toute la Normandie puis finalement Grand-Maître durant quelques temps. Sous sa gestion, la Guilde fut restructurée et prit de l'importance.

Devant cete réussite, aussi bien dans la Guilde du Blé que dans la ville d'Avranches, Cronos rejoint sa première liste ducale. Remportant la victoire aux élections, il devint Bailli de Normandie sous la direction du Duc Sieur, nommé désormais Sieur de Plantagenêt.
Il prit son travail à coeur, fournissant moult efforts sur tout les plans pour servir la Normandie. Sa dévotion et son bon travail furent récompensé par son annoblissement au rang de Vicomte, d'abord de Sée puis maintenant D'Yvetot.

Les mois s'enchaînèrent et Cronos fut de bien des Conseils, tout à tour Porte-Parole, Chambellan et Juge. Tout les normands finirent par connaître cet homme froid et sombre, cachant son visage sous un heaume à pointe. On le disait implacable et loyal, ne rechignant jamais au travail et atteignant systématiquement son but.
Ainsi, lui qui était ambassadeur en Poitou, parvint à tisser une amitié forte entre les deux régions pourtant assez éloignées, une des plus grandes opérations diplomatiques que la Normandie ait connue.
Il assuma moult mission de négociations, de mises au points de traités et et de lancement d'institutions comme la récente Assemblée du Peuple.

Enfin, ses régulières participations au Conseil lui permirent, avec 3 autres nobles normands dont le récemment disparu Amoulesolo, de fonder la première armée de Normandie. Alors qu'il avait déjà une carrière politique bien remplie, Cronos acquit sa plus grande renommée par la voix des armes.
Placé à la tête de la Marine Normande, le Vicomte Cronos, que chacun en Normandie nommait (et nomment encore malgré la disparition de la marine) l'Amiral devint le bras armé de la Normandie. A la tête de ses Loups de Mers, Cronos ne connut jamais ni blessures ni défaites. Il fut de toutes les batailles que la Normandie engageait. Son fléau ne fléchit jamais et il sa tailla la réputation d'un combattant froid et terrifiant, heaume en tête et manteau noir recouvrant son armure.
Sa réputation dépassa les frontières de Normandie et ses participations à la joute du Festival de la Couronne (qu'il remporta une fois) et plus récemment au Pas d'Armes où il brilla lui valurent le surnom du Chevalier Noir de Normandie.

Cronos avait ainsi atteint ce qu'il désirait. Il pouvait servir au mieux la Normandie qu'il chérissait. Les gens qui le conaissait de réputation ne s'opposaient pas à lui et ses compagnons le savait fidèle et sociable. C'est dans cet esprit de dévotion et de volonté de travail que cette candidature est portée à l'attention des honorables Pairs de Frances.
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MessageSujet: Re: Pairs du Royaume - CV   Pairs du Royaume - CV - Page 2 EmptyMar 26 Juin - 12:18

Belgian est nommé Pair de France. Il est parrainé par Georges le Poilu, Duc du Berry





Ci joint, le dossier biographique de Belgian.

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Son père Manfred Fenouillet après avoir été un des instigateurs de l'indépendance de la Flandre vis-à-vis de l'Artois et avoir vu son rêve se réaliser, a fondé le mouvement du Lion des Flandres, un des deux partis dominants en Flandre et a été élu au conseil comtal pendant deux mandats.

Il avait été nommé écuyer de la Duchesse d'Artois, ce qui a malheureusement obligé son père à la suivre dans son périple où il laissera sa vie après avoir vaillament combattu à compiègne et Reims.


Elevé dans cette ambiance familiale engagée, Belgian Fenouillet s'est rapidement engagé dans les institutions du Royaume pour servir son Roy et la France.

Au mois d'août 1454, il est nommé Procureur auprès de la Cour d'Appel de France, charge qu'il occupe toujours à ce jour. Sa formation juridique l'a amené à demander, à l'occasion de l'affaire Berthier, une définition du statut de la Reyne.

Sa droiture, son sens de l'honneur et son amour de la France l'ont amené à dénoncer les abus de Nikator en Flandres, la félonie de Kristof et à intervenir dans l'arrestation de Craven.

Vous l'aviez nommé au Conseil d'intendance d'Alençon où, au delà de son travail de conseillers, il exerça les fonctions judiciaires permettant de juguler la criminalité élevée de ce Duché.

Vous vous souvenez surement aussi de son intervention auprès de la Curie pour récuperer le mandat de Bouboule.

Il sert actuellement d'escorte au Grand Maitre de France lors de la période troublée en Anjou.


Au delà de son travail, il est également un excellent jouteur: vainqueur des joutes de Serves, demi-finaliste aux joutes de l'Epiphanie et finaliste aux joutes des Festivités Champagne-Flandres
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